L' EXPRESS du 1er octobre dernier se paie, toujours gentiment, un 2ème ministre ( à croire que le directeur de l' hebdo c' est Christophe BARBIER DE SEVILLE ! ), page 66 :
" Lorsqu' il apprend le décès accidentel de quatre militaires français en Afghanistan, le 27 septembre, le ministre de la Défense, Hervé Morin, décide de se rendre sur place pour assister à la cérémonie d' hommage aux victimes. Cependant, trois autres soldats, grièvement blessés, doivent être rapatriés. Dans l' après- midi, il ordonne le départ pour Kaboul de deux Falcon de l' armée de l' air prépositionnés sur la base de Villacoublay, pour opérer leur évacuation sanitaire. Morin entreprend alors de louer un appareil civil. S' il veut arriver à temps, il doit partir dans la nuit. Mais les procédures pour obtenir les autorisations de vol sont plus longues que pour un vol militaire, et celles du Kazakhstan, du Turkménistan et de l' Ouzbékistan tardent. A 3 h 30 du matin, Morin se rend quand même à l' aéroport du Bourget, espérant convaincre les autorités aériennes civiles que le plan de vol sera accordé pendant la traversée. En vain. Il a dû rebrousser chemin. "
Pas de zinc pour le ministre de la Défense : l' armée de l' air française aurait- elle du plomb dans l' aile ?
" Morin sans avion "
" Lorsqu' il apprend le décès accidentel de quatre militaires français en Afghanistan, le 27 septembre, le ministre de la Défense, Hervé Morin, décide de se rendre sur place pour assister à la cérémonie d' hommage aux victimes. Cependant, trois autres soldats, grièvement blessés, doivent être rapatriés. Dans l' après- midi, il ordonne le départ pour Kaboul de deux Falcon de l' armée de l' air prépositionnés sur la base de Villacoublay, pour opérer leur évacuation sanitaire. Morin entreprend alors de louer un appareil civil. S' il veut arriver à temps, il doit partir dans la nuit. Mais les procédures pour obtenir les autorisations de vol sont plus longues que pour un vol militaire, et celles du Kazakhstan, du Turkménistan et de l' Ouzbékistan tardent. A 3 h 30 du matin, Morin se rend quand même à l' aéroport du Bourget, espérant convaincre les autorités aériennes civiles que le plan de vol sera accordé pendant la traversée. En vain. Il a dû rebrousser chemin. "
Pas de zinc pour le ministre de la Défense : l' armée de l' air française aurait- elle du plomb dans l' aile ?
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