dimanche 5 février 2017

Amères primaires

A gauche comme à droite, ça branligote.

Dimanche dernier, Manuel Valls a été flingué à bout portant:

"Hamon commandement, feu!"

A droite, ça se gâte avec le Pénélopegate. On accuse l'épouse de François Fillon d'avoir occupé un emploi fictif d'attaché parlementaire de celui-ci, alors qu'elle n'aurait pas du tout travaillé. On en veut pour preuve le fait qu'on ne trouve aucune trace dudit travail. Si Nino Ferrer n'était pas mort prématurément, il aurait pu le prévenir:

"Fillon,y a l'téléfon' qui son' et y a jamais person' qui y répond!"

D'autres diront que, telle son homérique homonyme d'Ithaque attendant Ulysse, Pénélope Fillon se relevait la nuit pour défaire ce qu'elle avait fait dans la journée. Va savoir ...