mercredi 19 avril 2017

Eh ben Benoit!

C'était pourtant bien parti. A la source, en une magistrale primaire, il avait submergé et échoué Valls et Montebourg comme de vieux bois flottants et, tel un impétueux torrent, il dévalait les pentes. Là, c'était:

"Benoit amont"

Et puis, arrivé dans la plaine électorale, tout s'est enlisé, déglingué, dispersé dans le marécage. Il lui
faudra boire le calice jusqu'à la lie:

"Benoit avale"

A moins qu'il ne se jette dans l'oued insoumis ...