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Ouf! Alexandre Loukachenlo, Tsar de Bielorussie, peut à nouveau dormir sur ses deux oreilles: Emmanuel Macron a décrété "qu'il devait partir".

Voilà qui complète avantageusement la liste des fulgurants et définitifs oukases des gouvernants français de toutes époques . On se rappelle le terrifiant "Bachar doit partir" de Nicolas Sarkozy et son résultat, François Hollande, rafistolant le trône ébréché d'IBK au Mali, qualifiant la chose de "plus beau jour de sa vie politique ", Jacques Chirac accueillant Saddam Hussein en France en lui disant: "Vous êtes mon ami", ce qui n'avait manifestement pas porté chance au Raïs ou, bien avant, sous la "Quatrième", François Mitterrand, Ministre de l'Intérieur, clamant que "la France, en Algérie, ne connaît pas d'autre loi que la sienne".

C'est une tradition, bien dans la ligne de l'immortel :"Nous vaincrons, parce que nous sommes les plus forts" du Président du Conseil Paul Reynaud en 1940.

Une exception, toutefois: Nicolas Sarkozy a bien fait chûter Kadhafi, mais, là, il y avait les Britanniques, les Américains et, surtout Bernard-Henri Lévy ...