C'était pourtant bien parti. A la source, en une magistrale primaire, il avait submergé et échoué Valls et Montebourg comme de vieux bois flottants et, tel un impétueux torrent, il dévalait les pentes. Là, c'était:
"Benoit amont"
Et puis, arrivé dans la plaine électorale, tout s'est enlisé, déglingué, dispersé dans le marécage. Il lui
faudra boire le calice jusqu'à la lie:
"Benoit avale"
A moins qu'il ne se jette dans l'oued insoumis ...
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