Bon, ça chauffait en Tunisie et donc MAM avait proposé, au président tunisien, Hortefeux à volonté et son savoir-faire sécuritaire reconnu dans le monde entier. Eh bien, ce n'est pas ce qu'il fallait faire; il fallait tout simplement dire: "Casse-toi pauvre Ali!". Là-dessus, ça se met à chauffer en Egypte et, là, c'est Jeannette Bougrab, notre sémillante secrétaire d'Etat à la jeunesse, croyant sans doute que c'était kif-kif, qui dit: "Il faut que le Président Moubarak parte". Encore raté! Là encore, ce n'est pas ce qu'il fallait dire. D'où, comme le rapporte France-Soir (31.01.2011): "Convocation à Matignon, ... , c'est à un remontage de bretelles en règle qu'a eu droit hier Jeannette Bougrab. ...". Effectivement, comme Nicolas Sarkozy qui avait eu Hosni Moubarak au bout du fil, il fallait dire: "Cool, Hosni, cool!"
Evidemment, si Jeannette a entendu et compris: " Coule, Hosni, coule!" ...
Evidemment, si Jeannette a entendu et compris: " Coule, Hosni, coule!" ...
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